Titre : Love Crescendo
Auteur : Tillie COLE
Edition : Hachette
Nombre de pages : 352 pages
Résumé :
Lorsque Cromwell, 19 ans, est derrière ses platines, les corps se pressent, la fièvre monte. Personne ne lui résiste. Jusqu'à la fille dans la robe violette. Ce soir-là, Bonnie est venue voir l'ex prodige du classique qui lui a inspiré sa passion. Son verdict tombe, implacable : la musique de Cromwell n'a plus d'âme. Cromwell n'aurait pas dû se laisser atteindre. Pourtant, les paroles de Bonnie rallument en lui l'étincelle de quelque chose qu'il croit mort depuis longtemps. Alors, quand le destin les force à travailler ensemble, leur attirance mutuelle les rapproche, leurs sentiments se font plus forts. Et, malgré les secrets qui pourraient leur briser le coeur, jour après jour, leur amour va crescendo...
Mon avis :
Je n'en avais entendu que du bien. Ce roman est encensé de tous les côtés. J'avoue que, dans un premier temps, je me suis montrée réticente. J'avais l'impression que ce roman était surfait et qu'il ne parviendrait pas à rencontrer mes attentes.
Ben loupé.
J'ai vraiment beaucoup aimé cette histoire, elle nous offre un ascenseur émotionnel assez dingue.
Tout d'abord, j'ai beaucoup aimé les personnages. Ils sont intéressants, ils sont consistants, attachants et complexes. Que ce soit Bonnie, Cromwell (oui, par contre, le prénom, je l'ai détesté d'un bout à l'autre. Appréciation strictement personnelle, je n'arrive pas à me faire à ce prénom), Easton ou encore le Pr. Lewis, ces personnages trouvent un écho en soi, on s'y attache vraiment.
Ensuite, ce que j'ai vraiment, vraiment aimé, c'est la progression de la relation entre Bonnie et Cromwell. J'ai adoré qu'il n'y ait pas ce coup de foudre complètement niais dès le départ qui fasse que l'un ne puisse plus respirer tant qu'il n'a pas l'autre en visuel. J'ai été très reconnaissante envers l'auteure qui construit leur histoire, qui construit leurs sentiments. Par contre, là où j'aimerais poser un bémol (et je vais peut-être me faire des ennemis - même pas peur -), c'est après qu'ils se soient avoué leurs sentiments. Le reste de l'intrigue à partir de ce point est toujours aussi prenante, on a beaucoup de stress quant à l'issue de l'histoire, sur le sort des personnages, mais ce qui m'a gênée, c'est le manque de graduation dans l'intensité des sentiments entre Bonnie et Cromwell. Ils s'aiment plus que tout au monde directement. Je dois avouer que cela m'a un tout petit riquiqui dérangée. Oui bien sûr leur amour pour la musique les lie, oui ils ont un attachement particulier, oui, oui, oui... Maaaaaaaaaiiiiss... Voilà :p je suis chiante... ça m'a un peu embêtée.
Je me suis délectée de tout l'univers autour de la musique, le don de Cromwell qui est excessivement bien exploité dans le texte et tout au long de ce dernier. C'est vraiment extraordinaire et c'est un pan de l'histoire que j'ai vraiment, vraiment adoré.
En bref, cette romance m'a énormément plu, je comprends largement son succès. J'ai vibré à mille à l'heure la première moitié du récit et j'ai été très émue par la suite.
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