Titre : Rebecca Kean, tome 1 : Traquée
Auteur : Cassandra O'Donnell
Edition : J'ai Lu
Nombre de pages : 474 pages
Résumé :
Burlington...nouvelle Angleterre. Pas de délinquance, élue la ville la plus paisible des États unis, bref un petit havre de paix pour une sorcière condamnée à mort et bien décidée à vivre discrètement et clandestinement, parmi les humains. Malheureusement, en arrivant ici, je me suis vite aperçue que la réalité était tout autre et qu'il y avait plus de démons, de vampires, de loups-garous et autres prédateurs ici que partout ailleurs dans ce foutu pays. Mais ça, évidemment, ce n'est pas le genre de renseignements fournis par l'office de tourisme. Maudit soit-il...
Mon avis :
On m'avait beaucoup vanté les mérites de cette saga, aussi me suis-je lancé dans l'aventure pour m'en faire ma propre opinion.
Je ressors de ma lecture globalement satisfaite bien que ce n'était pas gagné au départ. J'ai rapidement eu une impression de déjà-vu. En effet, disons le, Rebecca Kean n'a rien de follement original. C'est un brassage de récits déjà lus et d'héroïnes que l'on a déjà côtoyées.
Rebecca m'a fait penser à Kate Daniels, bien que plus impitoyable. Évidemment le côté badass, répliques cinglantes et silhouette de rêve fait toujours son petit effet, il faut bien le reconnaître.
L'aspect assez original réside dans le personnage de Leonara, la fille de Rebecca. Cet arc narratif est pour le moins intéressant car peu exploité jusqu'ici.
Après, on tombe dans le bon vieux triangle amoureux, bien que les nuances sur l'un des deux mâles (dont je ne citerai pas le nom pour ne pas spoiler) peut encore réserver quelques rebondissements sympathiques. Je dois reconnaître avoir apprécié les échanges entre l'héroïne
Toute l'intrigue autour de l'enquête menée par Rebecca est bien construite et se dévoile de manière à tout faire concorder et nous offre une fin satisfaisante.
En conclusion, je pense que la saga est bonne et offre un bon potentiel. Elle plaira peut-être davantage à des personnes qui découvriraient le genre qu'à des lecteurs aguerris qui, potentiellement, auront un sentiment de déjà-vu.
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